La BLESURE D’INJUSTICE se développe entre les 4 ans et les 6 ans, souvent avec des parents autoritaires, froids et ne montrant pas beaucoup leurs émotions qui critiquent, pas juste avec l’enfant. Ça va souvent avec le rejet. La différence, c’est que le rejet touche l’être alors que l’injustice touche l’avoir et le faire. Ces personnes ont le masque de la rigidité . la personne ne va pas être respectée à sa juste valeur en grandissant, il/elle n’a pas l’impression d’avoir le droit de parler ouvertement de ses sentiments ou idées.
En effet, une personne qui a une blessure d’injustice pense que les autres ne le/la comprennent pas. Alors son apparence physique deviendra vraiment ce qui compte le plus.
(Par ex : ça peut-être l’enfant de quelqu’un qui a vécu la trahison car le type qui a vécu la trahison voit des traîtres partout et au moindre faux-pas va prendre son enfant pour un traître, et alors, l’enfant lui, paiera un lourd tribu et vivra l’injustice.)
Ils pensent qu’on est injuste avec eux même s’ils font bien. La notion du bien et du mal est d’ailleurs très carrée chez eux et ils ne veulent pas demander d’aide. Il ont peur d’être pris en défaut. Le reproche est douloureux pour eux, et donc ils feront tout pour l’éviter. Et si on leur fait un reproche, ils peuvent partir en grosse colère. Le rigide est une personne au physique dynamique, qui court de partout et qui ne peut pas rester en place. En revanche, son caractère manque de souplesse.
Dans tout ce qu’il fait, il est perfectionniste. Mais cela ne l’empêche pas non plus d’être envieux des autres. Oui, d’un côté, il veut paraître parfait mais d’un autre, il cherche toujours des excuses pour ne pas faire quelque chose ou pour justifier ses échecs.
La personne va tordre sa perception des situations pour tout traduire en injustice, ça va créer un registre extrême ! Elle va chercher à calmer ses émotions par la froideur alors qu’elle-même quand elle vis ça, elle n’a pas la sensation d’être froide ; mais les autres vont la prendre pour quelqu’un de froid, de rigide, de calculant sur tout.
Elle a tellement peur de retomber dedans qu’elle va se faire une carapace de « je suis fort (e)» de l’extérieur ils verront : « il/elle est rigide, froid(e), exigeant(e), n’est pas commode »…alors qu’en vrai elle aimerais tellement être différente mais elle est obligée de se donner ces exigences, ce mécanisme pour avoir l’illusion qu’elle a le contrôle pour ne plus vivre l’injustice pour elle ou pour les autres. Elles peuvent se couper de leurs émotions, être résistantes à la douleur, vont avoir peur de se tromper, vont être pointilleuses. Le vivent dans leur chair, comme une écorchure à vif, des coups de cutter, et ça leur pèse.
Cette personne sera tellement rigide à juger du bien et du mal que dès que quelqu’un va, selon elle, ne pas respecter les règles qu’elle s’est exigé, elle va reprendre de l’injustice et ce qu’elle voulais éviter, elle va se l’attirer ! Elle va vivre sa blessure au lieu de vivre sa vie ! Une personne qui a une blessure d’injustice aime l’ordre, est constamment dans le doute. Elle a besoin de l’approbation des autres pour prendre une décision.
Physiquement, une personne avec une blessure d’injustice est presque parfaite. Constamment droite, proportionnée et bien habillée . À s’être renfermé(e), on tourne malgré nous le dos à ceux qu’on aime et qui nous aiment.
Ainsi, il vous faudra apprendre à faire le premier pas. Si vous avez assez d’être droit comme un i de jouer les insensibles, vous pouvez changer ça ! C’était ce que vous aviez mis en place au moment où vous avez vécu pour la première fois l’injustice, à ce moment-là c’était le meilleur moyen mais vous ne pouvez continuer à vivre avec le passé. Prenez contact avec Catherine pour travailler et transformer votre vie.